vendredi 18 février 2022

Le pays des contes tome 6 de Chris Colfer

Résumé : Alex a disparu ! Pire, le sortilège de la sorcière Morina l'a transformée en enchanteresse maléfique. Cela ne pouvait tomber plus mal, car la brèche entre le Pays des contes et notre monde est désormais ouverte : héros comme vilains peuvent passer de l'un à l'autre. Conner, aidé de Rouge, Boucle d'or, Jack et de son armée littéraire, doit à tout prix libérer sa soeur. Car seuls les jumeaux peuvent affronter la plus grande menace qui ait jamais existé.
Une menace qui plane sur l'ensemble des mondes...

Mon avis : Le dernier tome d'une série, qui a mon avis, a pas mal de potentiel. C'est l'apothéose des personnages, c'est le crossover ultime. Ce qui rend le livre plutôt intéressant et à la fois confus. 

L'histoire est encore celle d'une grande menace, mais cette fois, la menace n'est pas n'importe qui, et en prime, se passe aussi dans notre monde à nous. On retrouve tous les personnages, et autant dire qu'entre ceux de Conner, l'entourage de Conner, ceux de la littérature, et ceux des contes de fées, ça fait un paquet de nombre de personnes ! Ce qui fait qu'à certains moments, comme ça faisait longtemps que j'avais pas lu cette série (sauf le tome 5 récemment), j'étais un poil perdu. 

Après, je trouve la gestion plutôt bien faite. Et surtout, je trouve que ce livre contient de nombreux bons messages, et comme ça avait été déjà le cas : des passages peu amusants. 
J'ai aimé l'évolutions de certains personnages, les choses qui se produisent, tout ce qui se rejoint. J'ai aimé les moments touchants, et j'ai manqué de pleurer à certains moments. Je trouve que ce tome est une très bonne conclusion à la série. 

Il y a pas mal de suspens, et en même temps, l'histoire se suis bien. J'ai retrouvé les personnages auquels j'étais attaché et me suis attaché à d'autre. 
En fait, j'ai beaucoup aimé ce tome, et l'ait trouvé aussi amusant que touchant, que triste, que épique. 

Citation : Quand on se concentre sur la joie dans des moments de détresse, quand on choisit de rire les jours où l'on a du mal à sourire, et quand on se concentre sur ses privilèges plutôt que sur ses problèmes. C'est ça, la façon de vivre heureux. On n'y parvient pas en étant parfait, c'est notre humanité qui nous guide.

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