Résumé : La terre du marais qui pue est en danger ! Les ogres pleurnichards, les grenouilles péteuses, les gobelins malins et autres créatures bizarres sont menacés par le terrible, l'horrible, l'indéfectible Docteur Câlinou. Tous, et surtout Randalph, le magicien raté, attendent l'arrivée de leur sauveur, leur super-héros à eux ! Ils croient l'avoir trouvé en la personne de Jean-Michel, un jeune garçon des plus ordinaires qui se demande ce qu'il peut bien venir faire dans cette galère?
Mon avis : Je dois bien avouer que ma lecture des deux premiers tomes dataient. Mais je m’y suis remise, dans le but de finir la série. Et au final, je crois que j’ai eut le même avis que pour les deux premiers. Dans cette histoire parodiant Le Seigneur des Anneaux, on suit plusieurs points de vue. Celui des « gentils » et celui des « méchants ». Au fond ce n’est pas tant manichéen, et certains personnages « gentils » sont au final surtout stupides et avares. Donc.
Cette fois on a la bataille contre le terrible docteur Câlinou dont la véritable identité m’a énormément plu (oui bon spoiler alert : on apprend son identité dans le livre). J’ai adoré tout le point de vue des méchants, avec Ingrid la folle ou même le Baron cornu. Alors que les gentils me faisaient l’effet d’être fait rapidement et pour faire rire, quand ils me faisaient juste grimacer. A part Jean-Mi, je n’aime pas tous les autres personnages (ah si, j’aime aussi l’oiseau), donc c’était difficile pour moi d’apprécier pleinement ces moments. Alors que Câlinou, Quentin, le Baron cornu et Ingrid me faisaient rire, voire même me touchaient. L’histoire se déroule très rapidement. Il y a des twists moyens et d’autres vraiment amusants mais passez exploités et c’est ce que je regrette : tout est trop rapide et on s’attarde sur des détails pas forcément passionnant. Mais soit.
Et sinon, je trouve qu’on peux arrêter la série au tome 3. Mais de fait je me procurais la suite parce que voilà j’ai envie de voir ce qu’ils vont faire. Au fond, ça reste une série simple, mais drôle bien que parfois lourde.
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